Flemme d’écrire ? 5 astuces simples pour rédiger des articles même quand t’as zéro motivation

Fais entrer le lecteur dans le sujet

T’as déjà connu ces moments où tu te retrouves devant ton écran, à regarder cette page blanche qui semble te juger ? T’as ce blocage total, aucune idée ne vient, tu sens que l’inspiration s’est envolée et que chaque mot que tu essaies d’écrire ressemble à du gribouillage.


C’est normal, tout le monde passe par là. La flemme d’écrire, ça arrive, surtout quand tu manques de motivation ou que t’as une tonne de trucs à faire mais pas l’envie d’avancer. C’est frustrant, hein ? Mais bonne nouvelle : t’as pas besoin d’être motivé pour avancer. L’écriture, c’est un muscle, et même quand t’as zéro motivation, tu peux retrouver ton flow.

Il suffit juste de savoir comment débloquer ta créativité et booster ta productivité, même sans être inspiré. Pas besoin d’attendre le moment magique où tu seras "super motivé". Ce moment peut ne jamais venir ! Mais si tu connais les bonnes techniques, tu vas pouvoir écrire facilement, même les jours où t’as envie de tout lâcher.


Dans cet article, je vais te partager 5 astuces ultra simples et efficaces pour rédiger des articles même quand tu manques de motivation. Tu sais, ces jours où rien ne t'inspire, où t’as juste envie de laisser tomber. Ces astuces te permettront de surmonter la page blanche et de repartir du bon pied, même quand tu crois que l’écriture n’est pas pour toi ce jour-là.


Crois-moi, une fois que tu auras testé ces méthodes, tu ne verras plus jamais la flemme d’écrire de la même manière. Tu vas reprendre le contrôle, et surtout éviter de perdre du temps à te demander pourquoi tu n’arrives pas à écrire. Parce que je vais te montrer comment rendre l’écriture plus facile, plus rapide, et même plus agréable, même quand tu t’attends à rien.

Astuce n°1 : Élimine tout ce qui te distrait (oui, ton téléphone aussi)

Comment écrire quand ton cerveau est bombardé de notifications ?

Franchement, c’est galère d’écrire quand t’as ton téléphone qui vibre toutes les deux secondes, ta boîte mail qui se remplit, et tes réseaux sociaux qui t’appellent. On est d’accord, non ? Résultat : tu commences à écrire une phrase, mais avant même de la finir, tu te retrouves en train de répondre à un message WhatsApp ou de scroller sur Insta. Et là, c’est foutu. Ton cerveau est déjà parti ailleurs.


Si t’as l’impression que ça t’arrive tout le temps, t’inquiète pas, t’es pas seul. La vérité, c’est que ton cerveau n’est pas fait pour jongler entre mille trucs à la fois. Chaque petite interruption te fait perdre ton élan, et c’est pour ça que t’as du mal à avancer sur ton article. La solution ? Coupe tout ce qui te perturbe, sans pitié.

Pourquoi les distractions te bouffent ton énergie (et ton temps)

Quand t’es sans arrêt interrompu, ça te fait perdre beaucoup plus que quelques secondes. En fait, à chaque fois que tu passes d’une tâche à une autre (genre répondre à un message au lieu d’écrire), ton cerveau met plusieurs minutes à se remettre dans le bain. C’est ce qu’on appelle le "coût du changement de contexte". Et crois-moi, ce coût-là est salé.


Tu veux écrire un article en une heure ? Bonne chance si ton téléphone est posé à côté de toi en train de clignoter. Chaque notification te coupe dans ton élan, et même si tu penses "juste jeter un œil", t’as perdu ton focus. Résultat ? Au lieu d’avancer, tu procrastines encore plus.

La méthode simple pour couper toutes les distractions

Si tu veux écrire sans te prendre la tête, tu dois mettre en place un environnement zéro distraction. Oui, ça veut dire :

  • Ton téléphone : en mode avion. Pas de notifications, pas de vibrations, juste le silence.
  • Ton ordinateur : un seul onglet ouvert. Oublie les 15 fenêtres ouvertes avec Facebook, YouTube et tes mails. Laisse juste la page de ton article.
  • Ton espace : minimaliste. Pas besoin d’être parfait, mais essaye de bosser dans un endroit où t’as pas trop de trucs qui attirent ton attention (genre une pile de linge à plier).

C’est aussi simple que ça. Si tu crées une bulle autour de toi, tu verras que tout devient beaucoup plus fluide.

Mon astuce perso pour écrire sans interruption

OK, je te partage mon petit truc : quand je dois écrire, je me mets une règle d’or. 30 minutes, sans aucune interruption. C’est-à-dire :

Je coupe mon téléphone (mode avion activé, sinon c’est foutu).

Je mets un timer de 30 minutes.


Pendant ces 30 minutes, je fais une seule chose : écrire.

Pas de mail, pas de réseaux sociaux, rien d’autre que mon article. Et tu sais quoi ? Ça marche à tous les coups. En général, en 30 minutes de pure concentration, j’arrive à écrire 500 mots minimum, même si je suis pas ultra motivé au départ.


Et le meilleur, c’est que quand le chrono sonne, je peux m’accorder une petite pause sans culpabiliser. Franchement, essaie, tu vas voir, ça change tout.

Pourquoi cette astuce fonctionne à tous les coups

Le vrai problème, c’est qu’on est tous tentés par le multitasking. Mais spoiler : le multitasking, c’est du pipeau. Ton cerveau ne peut pas faire deux choses en même temps. Quand tu essaies d’écrire un article tout en répondant à des messages ou en checkant tes mails, tu te sabotes toi-même.


C’est comme essayer de regarder une série tout en bossant sur un gros dossier : au final, tu fais ni l’un ni l’autre correctement.

En éliminant les distractions, tu donnes à ton cerveau la chance de se concentrer à 100% sur ce que tu fais. Et quand ton esprit est dans le flow, c’est là que la magie opère. T’écris plus vite, t’écris mieux, et surtout, t’as pas cette frustration de perdre ton temps.

Ça marche même les jours où t’as la flemme

T’as pas besoin d’être super motivé pour appliquer cette méthode. L’idée, c’est juste de créer un environnement propice pour avancer, même un tout petit peu. Même si t’arrives à écrire 200 mots en 30 minutes, c’est toujours mieux que rien du tout. Et crois-moi, plus tu te débarrasses des distractions, plus tu te surprendras à être productif.

Passe à l’action maintenant

Rappelle-toi, t’as pas besoin de te battre contre la flemme ou de forcer ton cerveau à faire des miracles. Tout ce que tu dois faire, c’est créer les bonnes conditions pour écrire. Couper ton téléphone, fermer les onglets inutiles, et te concentrer sur une seule chose : ton article.

Astuce n°2 : Commence par le plus facile (pas par l’intro)

Pourquoi vouloir écrire dans l’ordre te bloque (et comment contourner ça)

OK, soyons honnêtes : commencer un article par l’intro, c’est une fausse bonne idée. Pourquoi ? Parce que l’introduction, c’est souvent le truc le plus difficile à écrire. Tu veux captiver ton lecteur dès les premières lignes, poser les bases de ton sujet, et ça te met une pression énorme. Résultat : tu te bloques. T’as la page blanche qui te fixe, et tu restes là, à attendre que l’inspiration tombe du ciel.


Mais devine quoi ? T’as pas besoin de commencer par l’intro. Personne ne t’oblige à écrire ton article dans l’ordre. En fait, c’est même plus malin de faire le contraire : commence par ce qui te paraît le plus simple. Une idée, une anecdote, un exemple… Bref, attaque par le bout facile, celui qui te vient naturellement. Une fois que t’as mis quelque chose sur la page, le reste suivra tout seul.

Pourquoi l’ordre parfait te freine

Beaucoup de gens pensent qu’ils doivent écrire leur article de manière linéaire : d’abord l’intro, ensuite le corps, et enfin la conclusion. Mais c’est un piège. Ton cerveau ne fonctionne pas comme ça. Il ne produit pas forcément les idées dans l’ordre où tu vas les lire. Et c’est totalement normal.


Quand tu te forces à commencer par l’intro, tu te retrouves à faire face à la partie la plus intimidante de ton article. C’est là que tu dois résumer ton sujet, donner envie de lire, et poser le ton. Mais si t’as pas encore rédigé le reste, comment tu peux savoir exactement ce que tu vas dire ? C’est comme vouloir construire une maison en commençant par le toit.

La solution : écris dans le désordre

Au lieu de te bloquer sur l’intro, fais l’inverse. Pose-toi une simple question : Quelle partie de mon article me paraît la plus facile à écrire ? Une fois que t’as la réponse, commence par là. Ça peut être :

  • Une anecdote marrante ou inspirante.

  • Un conseil pratique que t’as déjà en tête.
  • Une idée clé que tu maîtrises bien.

L’idée, c’est de démarrer là où c’est le plus fluide pour toi. Même si c’est juste une phrase ou une idée rapide, ça te permettra de briser la glace avec ton article. Et une fois que t’as commencé à écrire, tu verras que le reste vient plus naturellement. Le plus dur, c’est de démarrer.

Exemple pratique : Comment je commence mes articles

Bon, je vais être transparent avec toi : moi non plus, je commence jamais par l’intro. Quand j’écris un article, je saute directement à la partie où je donne mes astuces concrètes. Pourquoi ? Parce que c’est ce qui m’inspire le plus. J’ai déjà les idées en tête, alors je les mets sur la page sans me poser de questions. Pas besoin d’attendre que tout soit parfait.


Une fois que j’ai écrit le cœur de mon article, je reviens à l’intro. Et tu sais quoi ? C’est beaucoup plus facile de rédiger une intro quand t’as déjà tout le contenu. Parce que là, tu sais exactement où tu vas et ce que tu veux dire. C’est comme avoir une carte pour te guider.


Par exemple, pour cet article, j’ai commencé par cette astuce (oui, celle que tu lis en ce moment). J’ai écrit sur l’importance de commencer par le plus simple, parce que ça me semblait évident et facile. Ensuite, j’ai bossé sur l’intro et la conclusion. Et franchement, ça marche toujours.

Pourquoi cette méthode te fera gagner du temps

Quand tu arrêtes de te prendre la tête avec l’ordre parfait, tu gagnes en fluidité. Au lieu de bloquer pendant 30 minutes sur une intro qui ne vient pas, tu passes direct à ce que tu peux écrire facilement. Et une fois que t’as quelque chose sur la page, c’est beaucoup plus simple de continuer.


En gros, c’est comme un puzzle : tu commences par les pièces les plus évidentes, celles qui s’emboîtent facilement. Une fois que t’as avancé, tu peux t’occuper des parties plus compliquées (comme l’intro ou la conclusion). Écrire dans le désordre, c’est juste une manière plus intelligente de travailler.

Comment appliquer cette astuce dès maintenant

  • Identifie la partie la plus simple. C’est quoi, pour toi, la section la plus facile à écrire dans ton article ? Une idée que tu maîtrises ? Un conseil que t’as déjà donné à quelqu’un ? Commence par ça.
  • Écris sans te censurer. Pas besoin que ce soit parfait. Pose tes idées comme elles viennent, même si ça ressemble à un brouillon.


  • L’important, c’est d’avoir quelque chose sur la page.
  • Reviens à l’intro à la fin. Une fois que t’as écrit le gros de ton article, rédiger l’intro sera beaucoup plus naturel. Tu sauras exactement comment captiver ton lecteur et poser les bases.

Ça marche même si t’es pas inspiré

Le truc avec cette méthode, c’est qu’elle fonctionne même quand t’as zéro motivation. Pourquoi ? Parce que tu attaques directement par ce qui te paraît le plus accessible. Pas besoin d’être un génie ou d’avoir une grande inspiration pour écrire une idée simple.


Et une fois que t’as commencé, tu te mets dans le flow. C’est comme une boule de neige : plus tu avances, plus ça devient facile.

Écris dans le désordre et débloque ton écriture

Tu vois, t’as pas besoin de te compliquer la vie. Si l’intro te bloque, laisse-la de côté et commence par ce qui te semble le plus simple. Une idée, une anecdote, une section pratique… Peu importe. L’important, c’est de commencer quelque part.


Essaie cette méthode dès aujourd’hui : ouvre ton brouillon, et au lieu de te prendre la tête sur l’intro, passe direct à une partie facile. Tu verras, ça change tout. Et une fois que t’as commencé, le reste suivra naturellement.

Astuce n°3 : Écris un brouillon moche (et c’est OK)

Écrire mal, c’est mieux que ne pas écrire du tout

Tu sais ce qui tue le plus la créativité ? Vouloir être parfait dès le début. Sérieusement, c’est l’erreur que tout le monde fait, et ça te bloque complètement. Tu te dis : "Si je commence à écrire, il faut que ce soit bien, sinon ça sert à rien." Mais non, c’est faux. Ton premier jet n’a pas besoin d’être parfait. Il a juste besoin d’exister.


Écrire mal, c’est mieux que ne rien écrire du tout. Pourquoi ? Parce qu’un brouillon, même moche, c’est déjà une base. Une fois que t’as quelque chose sur la page, même un truc bancal, tu peux le relire, l’améliorer, le peaufiner. Mais tant que la page reste vide, tu n’avances pas. Et ça, c’est le vrai problème.

Pourquoi le perfectionnisme te bloque

Quand tu te mets la pression pour écrire quelque chose de parfait dès le début, tu te retrouves face à la page blanche qui te fixe. Tu passes des heures à chercher la phrase parfaite, le mot parfait, et à force de vouloir que tout soit nickel, tu n’écris rien. C’est frustrant, non ?


Le perfectionnisme, c’est comme un poids qui t’empêche de bouger. T’es tellement concentré sur ce que ton article devrait être que tu oublies l’essentiel : il doit d’abord exister. Un article imparfait, avec des phrases bancales ou des idées en vrac, c’est toujours mieux qu’un article qui n’existe pas.

La solution : Écris n’importe quoi, mais écris

La meilleure chose que tu puisses faire, c’est de lâcher prise. Dis-toi que ton premier jet n’a pas besoin d’être beau, il a juste besoin d’exister. Prends une feuille blanche (ou ouvre ton fichier) et commence à écrire tout ce qui te passe par la tête sur ton sujet. Pas besoin de te censurer, pas besoin de chercher les mots parfaits. Juste écris.


Voici quelques conseils pour t’y mettre :

  • Laisse de côté les détails et concentre-toi sur les grandes idées.
  • N’aie pas peur des répétitions, des fautes ou des phrases bancales.
  • Écris comme si tu parlais à un ami : sans filtre, sans stress.

Le but, c’est d’avoir un point de départ. Une fois que t’as ton brouillon, tu pourras toujours revenir dessus pour l’améliorer.

Exemple personnel : Ma méthode pour débloquer l’écriture

Franchement, moi aussi je galère parfois. Y a des jours où juste l’idée de commencer un article me donne envie de tout faire sauf ça. Mais j’ai un truc qui marche à tous les coups : je me donne la permission d’écrire mal. Je me dis : "OK, écris n’importe quoi, même si c’est nul." Et tu sais quoi ? Ça débloque tout.


Une fois, je devais écrire un article, mais j’avais zéro inspiration. Alors j’ai écrit un brouillon moche, avec des phrases genre : "OK, ici je vais parler de l’astuce sur la concentration, mais faut que je trouve un exemple cool." Au final, j’ai fini par écrire plus que ce que je pensais, et j’ai pu transformer ce brouillon en un article solide. Le plus important, c’est de commencer.

Pourquoi ça marche à tous les coups

Quand tu te donnes la liberté d’écrire mal, tu enlèves la pression. Et c’est là que ton cerveau commence à travailler pour toi. Tu passes du mode "Je dois faire parfait tout de suite" au mode "Je mets mes idées sur la page, et je verrai après." Et devine quoi ? Une fois que t’as commencé, les idées commencent à venir.


Tu te surprends à écrire plus que prévu, et au final, tu as une base sur laquelle travailler.

Un brouillon moche, c’est comme un croquis. Personne ne demande à un peintre de faire une œuvre d’art parfaite dès le premier coup de pinceau. Alors pourquoi toi, tu te mettrais cette pression ?

Comment appliquer cette astuce dès maintenant

Prends 10 minutes. Mets un chrono et dis-toi : "Je vais écrire tout ce qui me passe par la tête sur mon sujet." Pas de filtre, pas de stress. Juste 10 minutes.


Ne te juge pas. Peu importe si ton texte est moche ou plein de fautes, ça n’a aucune importance. Le but, c’est d’avoir une base.

Reviens dessus plus tard. Une fois que t’as écrit ton brouillon, laisse-le de côté pendant une heure ou deux. Ensuite, relis-le avec un œil neuf et commence à le peaufiner.

Et si t’as encore du mal à commencer…

Rappelle-toi : le plus dur, c’est de démarrer. Une fois que t’as franchi cette étape, tout devient plus facile. Si t’as toujours peur de te lancer, essaie cette phrase magique :


"Écris quelque chose, même si c’est nul." Crois-moi, ça marche. Une fois que t’as mis les premiers mots sur la page, tu te sentiras beaucoup plus léger, et le reste viendra naturellement.

Un brouillon imparfait, c’est déjà une victoire

En écriture, le perfectionnisme est ton pire ennemi. Si tu veux avancer, accepte de faire des erreurs, de rédiger des phrases moches, et de laisser ton brouillon être tout sauf parfait.


L’important, c’est d’écrire quelque chose. Parce qu’un article moche peut devenir un chef-d’œuvre avec un peu de travail. Mais une page blanche, elle, reste vide.

Astuce n°4 : Transforme l’écriture en mini-jeu

Et si écrire devenait fun, même les jours où t’as zéro envie ?

Soyons honnêtes, y’a des jours où écrire ressemble à une corvée. T’es devant ton écran, t’essaies de commencer, mais rien ne vient. La motivation ? Absente. Mais si je te disais qu’il existe une solution simple pour contourner ça ? Et si écrire devenait un jeu ? Oui, tu m’as bien entendu : un vrai jeu, avec des défis, un chrono, et même un petit côté fun.


Quand tu transformes une tâche comme écrire en quelque chose d’amusant, tu changes complètement ton état d’esprit. Tu passes du mode "obligation" au mode "challenge". Et crois-moi, ça peut faire toute la différence.

Pourquoi rendre l’écriture amusante peut tout changer

Le problème avec l’écriture, c’est qu’on a souvent une approche trop sérieuse. On se dit qu’il faut que chaque phrase soit parfaite, chaque mot bien choisi, dès le départ. Résultat ? On bloque. Mais quand tu t’amuses, cette pression disparaît. Tu te libères du besoin d’être parfait et tu laisses juste tes idées couler.


Le cerveau adore les jeux. C’est prouvé : quand tu te lances des défis, ton cerveau active des circuits de récompense. Chaque petit challenge réussi te donne une dose de dopamine (oui, cette fameuse hormone du plaisir). Et c’est exactement ce qu’il te faut pour te sortir de ta torpeur et commencer à écrire.

Quelques idées pour transformer l’écriture en jeu

Si t’as envie de tenter l’expérience, voici quelques idées pour gamifier ton écriture et te remettre en selle, même les jours où t’as zéro envie :

Le défi du chrono :
Mets un timer de 10 minutes et essaie d’écrire un maximum de mots. Peu importe si c’est bien ou pas, l’idée, c’est d’écrire sans réfléchir.
Tu verras, tu seras surpris de tout ce que tu peux produire en si peu de temps.

Le mot imposé :
Choisis un mot aléatoire (ou demande à quelqu’un de t’en donner un) et trouve une manière de l’intégrer dans ton texte. Plus le mot est bizarre ou inattendu, plus c’est drôle.

Le défi du non-stop :
Lance-toi un défi d’écriture où tu ne t’arrêtes pas, quoi qu’il arrive. Pas de retour en arrière, pas de corrections, juste écrire. Même si ça donne des phrases absurdes, c’est pas grave.
L’important, c’est de garder le flow.

La phrase absurde :
Commence ton article avec une phrase complètement décalée ou drôle. Ça peut être quelque chose comme :
"Je ne savais pas qu’un lama pouvait influencer ma productivité." Ça débloque ton esprit et peut donner des idées intéressantes.

Le compteur de mots :
Fixe-toi un objectif : 200, 300, ou 500 mots. Et fais-en un jeu. Chaque fois que tu atteins ton objectif, accorde-toi une petite récompense (un café, un carré de chocolat, ou un scroll rapide sur Insta).

Exemple concret : Mon défi des 10 minutes

Je vais te raconter un truc que je fais souvent les jours où j’ai zéro motivation. Je me donne un chrono de 10 minutes, pas plus. Et pendant ces 10 minutes, je me lance un défi : écrire un maximum de mots. Pas de filtre, pas de relecture, juste écrire.


Au début, ça peut paraître ridicule. Les premières phrases sont souvent bancales, voire carrément mauvaises. Mais très vite, je me surprends à avoir des idées qui coulent toutes seules. Parfois, en 10 minutes, j’arrive à pondre plus de 300 mots. Et même si c’est pas parfait, j’ai une base. Et ça, c’est déjà énorme. Parce qu’avoir une base, c’est mieux que rien.

Pourquoi ces mini-jeux boostent ta créativité

Le truc génial avec cette méthode, c’est que tu détournes ton cerveau de la peur de mal faire. Quand tu joues, tu ne penses plus à être parfait, tu te concentres sur le fun et le défi. Et c’est souvent à ce moment-là que les idées les plus créatives surgissent. Tu t’autorises à essayer, à improviser, et à explorer.


Et en plus, ces petits jeux te permettent de rester dans le flow, cette fameuse zone où tout semble facile et naturel. Une fois que t’es dedans, écrire devient beaucoup moins intimidant, même si tu partais de zéro motivation.

Comment appliquer cette astuce dès maintenant

Choisis ton jeu :
Décide quel défi te parle le plus. Chrono, mots imposés, ou phrases absurdes ? Peu importe, choisis ce qui te donne envie d’essayer.

Fixe-toi une durée :
Pas besoin de passer des heures là-dessus. Mets un timer de 5 ou 10 minutes. L’idée, c’est de créer un espace limité où tu peux juste
laisser tes idées sortir.

Lance-toi :
Peu importe si ça semble bizarre ou bancal au début. Le but, c’est d’écrire. Et une fois que t’as démarré, laisse ton esprit jouer. Tu seras surpris de voir à quel point c’est efficace.

Relis plus tard :
Une fois que t’as terminé, laisse reposer ton texte. Reviens dessus plus tard pour voir ce que tu peux en tirer. Tu seras étonné de voir qu’au milieu des phrases absurdes, il y a souvent des pépites.

Et si ça ne marche pas du premier coup ?

Pas de panique. Comme tout jeu, ça peut prendre un peu de temps avant que tu te prennes au défi. Mais l’important, c’est d’essayer. Chaque tentative t’aide à débloquer ton écriture et à rendre le processus plus agréable. Et qui sait ? Ces mini-jeux pourraient bien devenir ta méthode préférée pour écrire.

Joue pour mieux écrire

Tu vois, écrire n’a pas besoin d’être une corvée. Avec un peu de créativité et des défis simples, tu peux transformer cette tâche en quelque chose de fun et motivant. En jouant avec les mots et les idées, tu te libères de la pression et tu retrouves le plaisir d’écrire, même les jours où t’as zéro envie.


Alors, qu’est-ce que t’attends ? Choisis un jeu, mets ton chrono, et lance-toi. Peu importe si c’est parfait ou pas, le plus important, c’est de commencer à écrire. Et tu verras, une fois que t’as démarré, tu ne voudras plus t’arrêter.

Astuce n°5 : Pense à la satisfaction d’avoir fini

Imagine ton article terminé, publié, et toi, tranquille

Franchement, t’as déjà pensé à ce moment magique où ton article est terminé, publié, et que tu peux enfin souffler tranquillement ? Imagine : tu cliques sur "Publier", ton article est en ligne, et toi, t’as plus qu’à savourer un bon café ou te poser devant ta série préférée. Rien que cette pensée peut te donner un coup de boost, non ?


Quand la flemme te paralyse, arrête de te concentrer sur le moment présent où tout te paraît insurmontable. Pense plutôt à ce que tu vas ressentir après avoir fini. C’est un peu comme quand t’as une montagne de vaisselle à faire. Ça te gonfle à l’idée de t’y mettre, mais une fois que tout est propre et rangé, t’es fier de toi. Écrire, c’est pareil. Le vrai plaisir, c’est une fois que t’as terminé.

Pourquoi visualiser le résultat final fonctionne

Ton cerveau adore les récompenses. Quand tu visualises un objectif atteint, ton esprit commence déjà à produire de la dopamine (l’hormone du bonheur). Cette simple anticipation de la satisfaction finale peut suffire à te sortir de ton état de procrastination et à te mettre en action.


Et ça marche à tous les coups. Pourquoi ? Parce que tu te projettes dans un état où la tâche n’est plus un obstacle, mais une victoire. Tu t’imagines déjà en train de profiter du moment où c’est fait. Résultat : au lieu de rester bloqué sur l’effort que ça demande, tu te focalises sur ce que tu vas gagner.

Transforme la satisfaction finale en moteur

Pour rendre ça encore plus puissant, associe l’écriture à une petite récompense bien méritée. Une fois ton article terminé, qu’est-ce qui te ferait vraiment plaisir ? Ça peut être :

  • Te faire un café bien chaud et prendre 10 minutes pour le savourer.
  • Regarder un épisode de ta série préférée (sans culpabiliser cette fois).
  • T’accorder une pause, juste pour te sentir fier de toi d’avoir accompli quelque chose.

Chaque fois que tu te sens freiné par la flemme, pense à cette récompense. Rappelle-toi : écrire, c’est pas juste une tâche, c’est un pas vers ton objectif final. Et franchement, c’est pas satisfaisant de barrer un truc de ta to-do list et de te dire "Ça, c’est fait" ?

Astuce pratique : Pose-toi la bonne question

Quand tu te sens bloqué, essaie ça : pose-toi cette simple question :
“Pourquoi je veux écrire cet article ?”

Cette question, elle paraît toute bête, mais elle peut faire des miracles. Peut-être que tu veux partager ton expertise avec ton audience. Peut-être que tu veux aider quelqu’un à résoudre un problème.


Ou peut-être que tu veux simplement avancer dans ton projet et ne plus avoir cette tâche qui te pèse. Quelle que soit la réponse, elle te rappelle ton objectif final. Et ça, ça peut te donner l’élan nécessaire pour te remettre en selle.

Exemple concret : Ce que je fais quand j’ai zéro envie d’écrire

Je vais pas te mentir, moi aussi j’ai des jours où écrire me semble insurmontable. Mais dans ces moments-là, je m’imagine le résultat final. Je pense à ce moment où mon article sera publié, où les gens vont le lire, le commenter, et peut-être même l’apprécier. Et cette pensée suffit souvent à me motiver.


Et puis, je me dis : "Quand j’aurai terminé, je pourrai enfin prendre une pause méritée." Pour moi, c’est souvent un bon café et 10 minutes de détente totale. Et tu sais quoi ? Ça marche à tous les coups. Une fois que je visualise la satisfaction d’avoir fini, j’ai plus envie de procrastiner.

Pourquoi cette méthode est infaillible

Cette technique fonctionne parce qu’elle joue sur deux leviers puissants :

La motivation par l’objectif : Visualiser ton article terminé te donne un but clair et tangible. Ton cerveau aime ça. Il n’a plus à se battre avec des pensées comme "Ça va être long et dur." Au contraire, il se concentre sur ce que tu vas gagner.


La récompense immédiate : En associant une petite récompense à ton effort, tu rends la tâche plus attrayante. Tu travailles pour un plaisir concret, et pas juste pour une obligation.

Comment appliquer cette astuce dès maintenant

  • Visualise ton objectif : Imagine ton article terminé, publié, et apprécié. Pense à la satisfaction de voir ton travail abouti.
  • Trouve ta récompense : Décide ce que tu vas faire une fois que c’est fini. Un bon café ? Une pause méritée ? Une petite balade ? Peu importe, choisis ce qui te motive le plus.
  • Pose-toi la bonne question : Pourquoi tu veux écrire cet article ? Réfléchis à ton "pourquoi". Parfois, juste te rappeler ton objectif peut suffire à te redonner l’élan nécessaire.
  • Lance-toi, même un peu : Dis-toi que chaque mot écrit te rapproche de ce moment de satisfaction. Commence petit, mais commence.

La satisfaction d’avoir fini vaut tous les efforts

Écrire, c’est parfois dur, mais penser au résultat final peut transformer ta façon de voir les choses. Imagine-toi avec ton article terminé, ton audience en train de le lire, et toi, fier d’avoir accompli quelque chose.


Ce sentiment de fierté et de légèreté vaut tous les efforts du monde.

Alors, la prochaine fois que t’as la flemme, arrête de penser à la difficulté du moment. Concentre-toi sur ce que tu vas ressentir après.

Une motivation boostée pour les jours de galère

La flemme, on la connaît tous, mais elle n’a pas besoin de te freiner

On va pas se mentir, la flemme, ça arrive à tout le monde. Ces jours où t’as juste envie de tout sauf écrire. Mais tu sais quoi ? Ça n’a pas besoin de te bloquer. Avec les bonnes astuces, tu peux avancer, même à petits pas. Ces 5 techniques que je t’ai partagées sont là pour t’aider à écrire plus facilement, sans te prendre la tête et sans attendre cette fameuse inspiration qui, soyons honnêtes, ne tombe jamais du ciel.


Souviens-toi : un article imparfait vaut toujours mieux qu’un article inexistant. Même un brouillon moche ou des mots écrits sous pression, c’est déjà une victoire. Parce qu’une fois que t’as commencé, t’es déjà sur la bonne voie. Ce qui compte, c’est d’avancer, un mot après l’autre. Alors, pas besoin d’être parfait, juste présent.

Passe à l’action et partage ton astuce

T’as maintenant tout ce qu’il te faut pour écrire, même les jours où t’es en panne totale de motivation.

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